Notre histoire

Notre Etude Généalogique de Marseille a été créée
en 1945 par Paul Besson
.

Issu d’une famille de Notaires, il a su constituer des archives Généalogiques fort précieuses concernant Marseille qui sont encore utilisées de nos jours.

L’année suivante la Chambre des Généalogistes de France a vu le jour, composée par les quelques Généalogistes existants, une dizaine au plus, et dont M. Besson a été un membre actif.

En 1975 Paul Besson a décidé de prendre sa retraite et a désigné comme successeur Patrick Bertrand, lui même issu du Notariat dans lequel il avait travaillé durant plusieurs années en tant que Clerc puis de Principal Clerc.

Patrick Bertrand a été nommé Président de la Chambre des Généalogistes de France lors du décès de Maurice Coutot qui en assurait la Présidence depuis sa création. Il a participé à l’élaboration d’une Charte des Généaogistes que les Présidents qui lui ont succédé ont su mettre en place et diffuser très largement auprès des instances judiciaires.

C’est au début des années 1990 que Patrick Bertrand s’est associé avec Michèle Blaise ancien Clerc de Commissaire-Priseur et d’Avocat.
Ensemble ils ont créé une Etude sur Nice.

Quant à Nicolas Doquin, fils de Gérard Doquin lui même généalogiste, il a commencé par travailler avec Patrick Bertrand puis après avoir obtenu son diplôme de Notaire, s’est associé avec lui en 2004 sur le bureau de Marseille

Ces Etudes se sont regroupées au sein du GIE : GENEALO-GIE qui s’est agrandi à nouveau avec l’ouverture de notre Etude de Montpellier dans laquelle, après des débuts de Juriste, Emilie Ferre Brun, diplômée de la faculté de Droit de Montpellier, est devenue associée de Patrick Bertrand et Nicolas Doquin.

Parallèlement à l’évolution de ses moyens techniques, GENEALO-GIE a également accru son réseau de chercheurs et de correspondants étrangers afin de pouvoir rechercher et localiser les héritiers dont la dispersion géographique internationale est devenue un élément quotidien du métier de Généalogiste Successoral.

Patrick Bertrand qui a su faire évoluer les outils de recherche en numérisant et en accroissant les archives initiales de l’Etude a décidé début 2018 de prendre sa retraite mais demeure membre fondateur du GIE qu’il a créé.

Aujourd’hui la cohésion qui règne entre tous les associés, qui exercent depuis longtemps une profession qui les passionne, est un gage d’unité et d’expérience apprécié tant par les héritiers que par les Notaires liquidateurs.